1 juil. 2013

LA DESORIENTATION DE NOTRE SERVICE PUBLIC D'ORIENTATION

Si l'orientation scolaire reste une condition de la réussite, elle fait face à un constat d’échec de plus en plus alarmant.
 
Le manque de moyens et d’outils (un conseiller d’orientation psychologue –COP- suit en moyenne, selon les chiffres officiels, 1400 à 1500 élèves par an), les dysfonctionnements des quelques 582 CIO, leur inefficacité à répondre aux attentes des jeunes, en raison notamment de leur relative méconnaissance du marché du travail, nous sont régulièrement rapportés par des étudiants souffrant d’erreurs massives d’orientation. En outre, la formation des COP n'est pas consacrée à l'analyse des différentes filières de formation françaises et européennes et de leurs débouchés professionnels, mais à la psychologie de l'orientation, aux approches sociologique et économique de ce domaine, et à l'analyse des données statistiques.
 
Dans une période économique et sociale délicate, les doutes et interrogations des jeunes et de leurs parents désemparés ne cessent de s'accentuer face à des services publics d'orientation inefficace.

Dans le contexte économique actuel, notre service d'orientation scolaire peut- il encore supporter un tel échec? Ne doit-il pas se structurer afin de devenir un service fiable offrant à toute la jeune nation française un accompagnement solide? Les perspectives ne vont malheureusement pas dans ce sens.
 
 institut privé d'orientation à Brive-la-Gaillarde, Bordeaux, Périgueux et Limoges, propose à tous les jeunes, selon la problématique rencontrée, un service d'orientation fiable répondant concrètement à leurs besoins grâce à la définition d'un projet scolaire / professionnel structuré et cohérent présentant des alternatives réalistes en termes de formations, filières et secteurs d'activités tout en considérant les facteurs variables inhérents au contexte de mutation économique actuel, la mise en place d'un plan d'action réaliste doublé du perfectionnement des aptitudes indispensable dans le cadre des objectifs fixés.
 
N. Fraysse
 
 

 
 
 

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