Le domaine
des jeux video est en plein
développement : son chiffre d’affaires a dépassé celui du cinéma et de
plus en plus de jeunes veulent travailler dans ce secteur d’activité. Mais
quels sont les meilleurs établissements pour s’y former ? Cinq cursus se
distinguent.
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De
plus, reconnue par de nombreux producteurs, Isart Digital a pour sa part l’avantage de proposer un programme en
alternance.
Puis,
les Gobelins dont l’offre est certes
plus récente, s’est néanmoins rapidement hissée parmi les meilleurs
établissements.
D’autre part, l’IIM (Institut de l’Internet et du
multimédia), quant à elle, est appréciée pour son cursus chef de projet
multimedia.
A
leurs côtés, plusieurs Ecoles sont en pleine progression : c’est notamment
le cas de l’Ecole Aries (Ecole
supérieure privée graphic and motion design) à Aix-en-Provence, Annecy,
Grenoble, Lyon et Toulouse et de Créapole
(Ecole de création management) à Paris, toutes deux reconnues dans le domaine
du level design.
Enfin,
n’oublions pas l’Ecole Bellecour à
Lyon dont la très récente section Jeux video s’est rapidement fait connaître
auprès des recruteurs.
Sachez
qu’il est aussi possible de travailler dans ce secteur en passant par une Ecole d’informatique* (Epitech, Epita, l’Insa Lyon*), ou par une Ecole de commerce (Essec,
EM Lyon…).
A
titre informatif, 15 catégories de métiers sont recensées, et le plus gros site
d’offres d’emploi est ajjv.com
(Agence française pour le jeu video).
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Les formations en cinéma d’animation sont reconnues à l’international. Ainsi, les Gobelins et Supinfocom sont les plus plébiscitées par les pros en raison de la qualité de leurs enseignements. Les étudiants y suivent une formation originale mêlant à la fois dessin traditionnel et utilisation de logiciels de pointe. De plus, ils apprennent à travailler en groupe et à réaliser leur premier film. Mais, pour intégrer ces cursus, la sélection y est drastique. Par exemple, les Gobelins n’admettent que 25 étudiants sur 700 candidats. Supinfocom en recrute 50 sur les 450 postulants, sachant que beaucoup d’entre eux ont déjà fait une année d’études spécialisées. Parmi les étudiants admis, 1 sur 25 sort directement du Bac.
D’autre part, d’autres Ecoles françaises tirent leur épingle du jeu grâce à un enseignement de qualité.
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C’est le cas de l’Emca (Ecole des Métiers du Cinéma d’animation) à Angoulême qui s’est imposée en quelques années et a su séduire les professionnels du secteur. Certains producteurs affirment même qu’il s’agit d’un véritable vivier de talents.
En
outre, à Valence l’Ecole La Poudrière est également très prisée.
Enfin,
les Ecoles Emile-Cohl à Lyon, Georges Méliès à Orly, Pivaut à Nantes, l’Ensad à Paris, l’Esma à Toulouse et Lisaa à Paris ont su elles aussi se faire un nom, chacune cultivant son
originalité.
Seul
bémol, le nombre d’ouvertures d’établissements qui ne cesse de croître. Les Ecoles
forment 5 00 étudiants par an alors qu’il n’y a pas plus de 5 000 personnes travaillant dans ce secteur en France.
En conséquence, nombre d’étudiants devront envisager le départ pour l’étranger
comme c’est le cas d’un quart de la promotion des Gobelins aujourd’hui.
Encore Merci! Le bilan a été une révélation pour Elisa qui pour la première fois depuis longtemps est heureuse d'entamer une nouvelle année scolaire. Nous sommes soulagés et plus confiants pour elle. A très bientôt Nelly!
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